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1.
17th International Conference on Indoor Air Quality and Climate, INDOOR AIR 2022 ; 2022.
Article Dans Anglais | Scopus | ID: covidwho-2325481

Résumé

The Covid-19 pandemic reminded us the importance of maintaining adequate indoor air quality to reduce the risk of propagation of viral particles. The aim of this study is to use air handling unit (AHU) filters to develop a methodology to identify microbial contaminants present in office indoor air. The methodology involves discs of filter media collected periodically from the extraction filters and analysed by cultural and molecular methods. Results obtained from the 10 months study indicate in particular that the concentration of cultivable microorganisms on the filters display small variations of 37% from average value for the 5-culture media tested (e.g., 3.9×102 CFU/cm2 for LB medium). The genera Aspergillus, Cladosporium and Penicillium are the most represented among the cultivable microorganisms collected on the extraction filter. © 2022 17th International Conference on Indoor Air Quality and Climate, INDOOR AIR 2022. All rights reserved.

2.
Environmental Technology & Innovation ; 28, 2022.
Article Dans Anglais | Web of Science | ID: covidwho-2149721

Résumé

Reusability of masks is a rising environmental concern. Community face masks present a more eco-friendly option as they can be washed and reused several times. The potential reuse of single use medical face masks is also of interest. In this work, the impact of 20 wash cycles (at 60 degrees C with detergent and air-drying) on the particle filtration efficiency (particle size range 0.1-6. 5 mu m) and breathability of masks was studied. With regards to the performance of new masks, the medical mask had breathability of 31 Pa.cm(-2) whilst it ranged from 9 to 59 Pa.cm(-2) for the community face masks. Additionally, for 3 mu m particles, the filtration efficiency was 99% for the medical mask and ranged from 28%-89% for the community face masks. Mixed fabric masks were able to maintain their performance up to 20 washing cycles. The washed 100% cotton masks were less breathable but with higher filtration efficiency because of shrinkage of the fabric. The washed medical face mask was able to maintain its breathability and filtration efficiency for sizes >= 3 mu m, however the filtration efficiency was significantly reduced for the submicron particles. This was because the presence of detergent caused the loss of electrostatic charges and led to a decrease of the particle collection by the electrostatic forces. All things considered, both the medical face mask and community face masks can be reused several times, with performances in terms of breathability and filtration efficiency (for particle sizes >= 3 mu m) that remain globally little changed after washing. (c) 2022 The Author(s). Published by Elsevier B.V. This is an open access article under the CC BY-NC-ND license (http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/).

3.
Buildings ; 12(9), 2022.
Article Dans Anglais | Scopus | ID: covidwho-2055147

Résumé

Indoor air quality is an important consideration for the health and well-being of building occupants, and the SARS CoV-2 pandemic highlighted the importance of maintaining proper ventilation in buildings. Air handling units (AHUs) are used to provide fresh air and maintain occupant comfort. The objective of this work was to study the evolution of filtration efficiency in an AHU fitted with bag filters, installed to treat office air in a low-energy building, over a 12-month period. The particulate filtration efficiency (PFE) and the microbial filtration efficiency (MFE) were quantified by measuring particle size distribution and bacterial and fungal concentration in the air circulating in the AHU. The resulting microbial concentration measurements in the fresh air (between 10²–103 CFU/m3 for fungi and around 103 CFU/m3 for bacteria) were higher than those in the extracted air from the offices (between 101 and 102 CFU/m3 for fungi and around 102 CFU/m3 for bacteria). The PFE and MFE measured were almost constant throughout the 12 months, with an increase of the filter pressure drop from 70 to 90 Pa. The PFE and MFE were quite comparable for a particle diameter. Therefore, the measurement of PFE is a reliable indicator of the MFE. © 2022 by the authors.

4.
Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique ; 69:S6-S7, 2021.
Article Dans Français | ScienceDirect | ID: covidwho-1240581

Résumé

Introduction L’infection par le coronavirus 2019 (COVID-19) et la dengue sont difficiles à différencier cliniquement dans le contexte des co-épidémies en zone tropicale. Dans une étude de cohorte rétrospective, nous avons précédemment distingué les facteurs associés au coronavirus 2019 (COVID-19) et à la dengue de ceux associés à d’autres maladies fébriles (OFI). L’objectif de cette nouvelle analyse était de développer un score pour discriminer les deux infections à leur présentation. Méthodes Les facteurs associés aux deux infections ont été identifiés à l’aide de modèles de régression logistique multinomiale (OFI pris comme sujets contrôles) parmi tous les sujets suspects de la COVID-19 ayant fréquenté le centre de dépistage du coronavirus de type 2 (SRAS-CoV-2) de l’hôpital universitaire de Saint-Pierre, île de La Réunion, entre le 23 mars et 10 mai 2020. Deux scores COVIDENGUE ont été développés et validés en interne par bootstrapping pour prédire chaque infection après pondération des odd ratios selon une règle prédéfinie. Le pouvoir discriminant de chaque score a été évalué à l’aide des aires sous la courbe ROC (« receiver operating characteristic curve »). Leur calibration a été évaluée à l’aide du test d’adéquation modifié d’Hosmer–Lemeshow pour les variables dépendantes polytomiques. Résultats Sur les deux mois de la période d’étude, 80 cas de COVID-19, 60 cas de dengue non sévères et 872 cas d’OFI ont été diagnostiqués. Les scores COVIDENGUE étaient composés de 11 critères : contact avec un cas positif de COVID-19 (+3 points pour COVID-19 ;0 point pour la dengue), retour de voyage à l’étranger dans les 15 jours précédents (+3 ;−1), antécédents de dengue (+1 ;+3), tabagisme actif (−3 ;0), courbatures (0 ;+5), toux (0 ;−2), symptômes d’infection des voies respiratoires supérieures (−1 ;−1), anosmie (+7 ;−1), maux de tête (0 ;+5), douleur rétro-orbitaire (−1 ;+5) et présentation tardive (>3 jours) à l’hôpital (+1 ;0). L’aire sous la courbe ROC était de 0,79 (IC95 % : 0,76–0,82) pour la COVID-19 et de 0,88 (IC95 % : 0,85–0,90) pour la dengue. La calibration était satisfaisante pour les deux scores (valeurs de p du Chi2 du Goodness-of-Fit à 0,94 et 0,55, respectivement). Pour la COVID-19, la sensibilité était de 97 % au seuil de 0 point et la spécificité de 99 % au seuil de 10 points. Pour la dengue, la sensibilité était de 93 % au seuil de 2 points et la spécificité de 94 % au seuil de 10 points. Conclusion Les scores COVIDENGUE sont des outils discriminants pour distinguer la COVID-19 et la dengue des autres maladies fébriles dans le contexte d’une co-épidémie à l’île de La Réunion. D’autres études sont nécessaires pour valider ou affiner ces scores dans d’autres contextes épidémiques pour la COVID-19 (selon, par exemple, le niveau de circulation des nouveaux variants) ou d’endémie pour la dengue (selon, par exemple, les proportions de dengues primaires et de dengues secondaires), ces situations épidémiologiques pouvant modifier la présentation clinique de ces deux affections.

5.
Médecine et Maladies Infectieuses ; 50(6, Supplement):S71-S71, 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-726710

Résumé

Introduction Les premiers cas d’infection à SARS-CoV-2 ont été diagnostiqués à partir du 11 mars 2020 sur notre territoire ultramarin. Celui ci est par ailleurs touché par une épidémie de dengue depuis l’année 2017, dont le pic est habituellement situé entre mars et juin. L’objectif de cette étude était d’identifier les symptômes discriminants entre les deux infections virales lors de la présentation clinique en centre de dépistage COVID-19. Matériels et méthodes Étude observationnelle rétrospective réalisée entre le 23 mars et le 10 mai 2020 sur l’ensemble des sujets dépistés pour la COVID-19. Ce dépistage comprenait un hétéro-questionnaire standardisé, une prise des paramètres vitaux, un écouvillonage nasopharyngé ainsi qu’un test rapide d’orientation diagnostique (TROD) chez les patients suspects de dengue. En cas de positivité de l’antigène NS1, un bilan biologique était prescrit. Les données ont été analysées à l’aide de tests du Chi2 ou de Fisher exact, de Student ou de Mann–Whitney, dans leurs conditions d’application. Résultats Sur les 1715 sujets dépistés pendant la période d’étude, 91 étaient positifs ou diagnostiqués malades pour la COVID-19. Le résultat du TROD était connu pour 66 sujets, et positif pour 48 sujets (72,7 %). Par ailleurs, 5 sujets avec TROD négatif ont été identifiés comme dengue secondaire et assemblés aux 48 cas. Les sujets COVID-19 avaient voyagé pour 52 % d’entre eux (vs 7,5 % pour la dengue, p<0,001). Le sexe, l’obésité, ou les comorbidités n’étaient pas associés à l’une ou l’autre des infections. Un tabagisme actif était deux fois moins rapporté dans la COVID-19 que dans la dengue (33 % vs 67 %, p<0,001). La dengue était symptomatique dans 100 % des cas, le COVID dans 88 % (p<0,01), ce qui traduisait un mode différencié de recrutement. La fièvre était plus fréquente en cas de dengue (90 % vs 49 %, p<0,001), tout comme les céphalées (94 % vs 34 %, p<0,001) et notamment les douleurs rétro-orbitaires (30 % vs 1 %, p<0,001), les courbatures (83 % vs 35 %, p<0,001), l’asthénie (77 % vs 42 %, p<0,001). L’anosmie était le seul symptôme associé à la COVID-19 (31 % vs 6 %, p<0,001). Rhinorrhée, toux et dyspnée n’étaient pas discriminantes. La température, la fréquence cardiaque et la SpO2 étaient similaires pour les deux infections. Les taux d’hospitalisation étaient également proches (11 % pour la dengue et 12 % pour la COVID-19). Le délai de présentation était plus court en cas de dengue qu’en cas de COVID-19 (4,4 vs 7,5jours, p=0,0001). Conclusion Les infections par le virus de la dengue et du SARS-CoV-2 sont deux entités cliniquement très proches. Il est difficile de poser un diagnostic en l’absence de TROD dengue ou de PCR SARS-CoV-2. Dans notre contexte de co-circulation des deux virus, la dengue semble revêtir un caractère plus brutal et réversible que la COVID-19, volontiers plus insidieuse.

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